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sophie ou marie

4 novembre 2006

wouh wouh, pleased to meet you...

Et maintenant? on fait quoi? les rixes passées sont pansées, les tumultes et autres affres effacés.

plus rien d'autre à penser que des farces, fresques à raconter et mots à fiancer.

écrire sans la larme sous la gorge, sans la menace d'une éxecution toute proche, caer du coeur ou de la nuit sur lui.

la plume moins lourde de sens, moins lourde du poids du monde craignant que je pointe ma missive sur leur réalité, denuée de fierté.

élegiaque (mélancolique) et mignard (mièvre), sans café ni éclat: loin de moi, car la demi mesure ne me tente toujours pas

sans voyage en Italie, et sans même un pas en avant, fais moi rêver, sinon pars, loin de moi et d'ici.

nul besoin de ta présence, je souris sans toi, je sers mes aimés, j'enlace les traits tracés sur le papier.

pas courtisan pour une once, et moi pas démago pour une pièce, alors je t'assure que c'est ce soir que tu m'intrigues

continue et moi aussi, anticipe et moi je suis, ne chuchote rien et l'étape avant une autre tu deviens.

de l'or dans un quatre mains, et des mots comme un métal rare, et précieux. ressource qui à chaque instant peut se tarir

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4 novembre 2006

Alegria

un texte écrit en collaboration avec celui décrit plus haut...

Excusez moi, pouvez vous me renseigner?

Car je ne veux faire que des allers et le vent dans le dos, alors où se trouve l'allegresse ? 

comment marcher vers elle? en el interior sabras, guapa.

pourquoi n'être pas venue avant, allegresse?

je tai apeleé tu sais, malgré les crochets je voulais trouver ton chemin

mais sans ta main impossible d'aller plus loin

escuchame:

siempre la has tenido, pero cerravas los ojos y te cosias la boca

escuchabas estribillos y te ponias a bailar sobre sus ritmos guapa.

alegria, il m'est difficile de te regarder, mes yeux trahissent fatigue et larmes versées.pour que tu comprennes, fais rimer lagrima de plata et mise en scène usée.

Habla de lo que amas. habla un poco, o mucho mas...

je ne peux pas parler aussi librement de ce que j'aime. porque ?

la méfiance m'a diplômé et maintenant elle me regarde. mais j'ai des rimes et de la chance, tu es à mes côtés.

mais tu ne veux pas comprendre que la pierre est gravée. je peux m'en éloigner et la lisser,

mais je n'aime pas le mot palimpeste et cette image m'y fait penser

Tres lineas para decir que quedas en resumen

Tu presencia sustituye a tu voz, porque tus ojos hablan por ti.

Y tu que quieres ? dices que te vas, y te quedas acqui...

ne jamais me lasser de toi.voila ce que je veux.

alli en frente, un poco mas al sur y todo recto

4 novembre 2006

le début de septembre

c'es un peu, mais ça vaut le coup( la vie est longue, mais tu la fais qd mme, alors tu vas pas rechigner sur un misérable te tendant la main!)

La même couleur de martini d'antan.

la même saveur grisante que le martini d'antan

je veux que dans mon texte il n'y ait rien à jeter

tout serait bon comme une soirée d'été.

saison

raison

passion

appartenir

partir

languir

longtemps fuir

s'en souvenir

sans, cent souvenir

sous ce voeux rire,

rempart, avatar.

Mon voeux pieux, c'est que jamais je ne l'accomplisse

et qu'entre ses mains livrée, ou celle d'un autre, je glisse

si peur de n'être plus qu'à un seul, et que lui ne comprenne pas

que si je te dis je ne t'aime pas, c'est que je l'**** déjà

comprends que je me défende, de toute accusation

d'être en amour, d'être là mille, des milllions de jours

rien n'est pire que la securité, ses yeux mouillés de mollesse

empoigne ce qui brûle et fais moi voir les sentiers de la liesse, mon amour

à moitié jamais, trompe moi devant moi, mais ne scie pas

fuis moi, sans jamais quitter ma main, ne scie pas

contre six mille baisers, ou contre un verre d'eau,

sache bien que mon mot d'amour est peau de chagrin

plus je l'utilise, plus vite viendra l'heure de la fin

Je sais l'intuition, je sais les raisons,

... des autres

Je ne connais pas la mienne qui part à chaque avoeu

qui parcourt, sonde les âmes aussi vite que la lumière nous brûle les yeux.

le son, voilà mon ennemi, le son de ta voix qui trop en dit.

tu n'es pas disponible, tu ne l'es pas plus que moi.

tu n'es pas plus à moi que moi je ne suis TA.

et tu sais très bien ce que veut dire cette phrase. mais tu préfères l'interpreter en ton sens... non tu ne me tiens pas dans ta main. je te tiens tête, hostile pour un rien, fossile est mon coeur, mais à l'intérieur la vie est inscrite, la vie est souvenir, à toi de me donner la bonne clé pour que je puisse l'ouvrir et visiter les siècles passés, révolus, tachées de séismes et d'invasions aux sourires, aux corps parfaits qui m'ont défait.

oui je suis encore là.

laisse moi ne pas te haïr déjà d'( être en pyjama!!) de t'habituer à mes frasques, de les trouver touchantes et saugrenues, de penser que ça passera. mets ton doigts par pitié mets ton doigt sur ma bouche et réponds moi à ta façon, je ne traque pas les mêmes rimes, mais juste le même horizon parfois sans autre liaison que nos mots chéris, nos mots qu'on aime, eux, et c'est sûr, pour la vie.

enflammée. c'est le mot. et d'autant plus à cause de ceux qui m'ont vue comme une drôle, avec dans les mains, dans les doigts, des sillons de rimes dépourvus de raison. ceux aux sourires condescendants, et même vraiment montants( ...)

est ce pour voir que je regarde mes deux mains? espoir dans mes deux mains? la vie c'est l'amour. l'amour c'est la plume. celle qui donne chaud et te garde les mains prises. DIeu merci

toujours ce même problème... je veux qu'un me réponde, mais pas dans le sens du vent. ( pas con- ventionnel nda lol)

je veux un pamphlet quand je vais trop loin, un lais quand c'est beau, et un beau menestrel quand même parce qu'il faut pas deconner non plus.

t b c

4 novembre 2006

mauvais sans consigné... ( tout est dit)

Bon je m'arrête tout net parce que je sens bien que je suis en train de me faire du mauvais sang pour rien.

mes mots c'est ma liberté. et quand je suis heureuse, je sens bien que je ne suis qu'en conditionnelle. Alors quoi petite gâtée, tu vas faire quoi, Repousser tout ce qui est susceptible d'être bon pour toi, comme dans le passé, pour pouvoir aller à contre sens? laisse toi porter un peu, y'a pas de mal à être heureux!

Oui j'ai des souvenirs. mais j'ai aussi de la determination à revendre, alors je vais apprendre à l'utiliser à bon escient. Sur un terrain neutre sans intérêt, avec entrain je monte dans le train. Dans l'antre de la tristesse je laisse mon chagrin ( par définition certes..)chaque grain de peau lavé par mes larmes sera caressé par une main, par un dominus enclin à entendre mon terrain..

Hombre dans mon langage aussi bien et demain riment, mais mon demain est plus timide et prend plus de temps pour le même chemin

4 novembre 2006

Et puis vient cette rencontre, au milieu de

Et puis vient cette rencontre, au milieu de l'été. Il ( car il s'agit d'un "il"! Dans toutes les bonnes intrigues se trouve une histoire de "il " ou de "elle", tu le sais bien...)

il,donc, préferait sûrement que je dise "la "rencontre", mais je ne me laisse pas avoir, je me fous d'aller dans son sens, et puis je l'avoue, j'aime bien aller contre son sens. C'est bien d'aller pour rigoler dans le sens contraire de quelqu'un qui va dans le tien, au fond.

Donc la situation: lasse de ces simagrés qu'on ose apeler amitié, sentiment, amour même. Mois d'août. Ce sont des considérations d'adolescent qui ont le temps, des conneries de jeunes qui ont une mèche devant les cheveux, et qui disent "p'taiiiin", ont des autocollants smileys et Kitty collés sur leur Eastpack ( TRade Mark). Des considérations de vieux ( sans citer Fredo et Camille Laurens,oups j'ai cité ces personnes?!)qui ont que ça à foutre et vraiment( prononcer "vraimont " si tu veux la faire avec l'accent portugais) que ça à foutre...

alors je décide de m'instruire et de continuer à envoyer bouler les aveugles et les fous qui viennent me proposer la botte à vie, la vie accrochée à mes bottes...

mais ça commence mal, parce que je surf sur Skyblog.

ce qui me permet de tomber sur les pages perso d'un mec qui prétend rédiger un journal bien meilleur que les autres... ce que j'ai pensé :

description : "ok, le mec se la pète"

page 1: " le mec est doué"

page 8: " le mec est calé en cinéma"

page 15: "le mec se la pète, est doué, calé en cinéma, et en musique".

page 25 :"le mec se la pète, est doué, calé en cinéma, et en musique, et il a de vraimOnt bons goûts". manquerait plus qu'il soit espagnol et charmant, et il me tenterait presque (oui je sais je suis versatile, je ne voulais que m'instruire)

page 39: oh p*****ain, il est espagnol et charmant....ça ALORS...

bon, le mec a été blog de la semaine, il semble avoir un égo demesuré et en moyenne 240coms par article. Je laisse un com, mais c'est tout. Un et c'est tout.

et un jour plus tard, j'ai une réponse

et un mois après, je passe la journée avec lui

...voilà quelques textes.

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4 novembre 2006

without LoVe, where would you [sing] now?


La présence d'un artiste peut rendre l'atmosphère lourde. Si il décide de montrer sa supériorité.

Mais, dans le cas où il décide de partager, tu te sens devenir. Ce qu'il dit ( en l'occurence il chante) t'apparaît comme limpide et enfin tu comprends le "mais c'est bien sûr!"...

Ce soir là, Seb( c'est son nom)  chantait "Without Love, where would you be now..." et cette question (réthorique, oui on sait bien où il veut en venir le bougre) me donnait envie de répondre que la question ne se posait même pas.

et là je réinvente la Foi, l'Amour universel et tout et tout( je plaisante je ne me prends pas pour une sorte de gourou des temps modernes, avec moustache postiche et sandalette en cuir brun...)

l'Amour est partout. on veut lui donner forme physique en le "faisant". mais est ce que cette manifestation est la seule? la bonne? est ce que faire l'amour n'est pas plus parlant dans un regard? parce que comme la pensée maladroitement traduite par la parole, l'acte d'amour, parfois brutal, parfois frustrant, est biaisé par des considérations bêtement subjectives?

Je suis convaincue que l'amour se trouve simplement dans le regard de Najoua. à la fois mélancolique, calme, ( oui et luxueux et voluptueux, si tu veux...)et toute cette pléiade d'émotions qui sont des ressentis "arrivés". Rien n'y changera. Quelqu'un de triste guérit. Mais sa mémoire le poussera à se protéger la prochaine fois.

Najoua est encore la plus belle.... et Seb toujours un artiste. Pourtant leur vie avancent, et ils se font mal parfois.

Naj, qu'il faut regarder dans les yeux. Douce Naj. Douce et en devenir.

Seb, qui gagne à être connu, parce qu'en plus d'être talentueux, il est généreux. Ce qui n'est pas donné à tous les artistes.

lhttp://www.sophiemarie.skyblog.com photo titrée " without love, where would you be now, tadam dam dam dam"

3 novembre 2006

une parenthèse sur la luminothérapie, sur fond musical de " baby i got the feeling babe" de James Brown

la luminothérapie...

qui a le cran d'utiliser son intuition? de vivre pour voir tout, et définir ce qui lui convient le mieux?

le besoin d'amour et de reconnaissance nous tient par les cheveux ( pour les filles ) et par les ***( pour les garçons), nous rend lâche et parfois méchants

Le besoin d'être aimé.

celui d'être reconnu. Pense y, et demande toi si il ne te commande pas,; toi aussi...

3 novembre 2006

transition estivale

Après une desillusion, deux solutions : se lamenter des années durant, mais je l'avais déjà fait, et mon crédit de lamentations était largement épuisé, soit réfléchir deux secondes avant de se lancer à nouveau dans des périgrinations amoureuses stupides et en plus sans tête avec juste une ... bon bref.

donc, nouvelle page wordpad, et dans un élan de douceur, j'écris :

Je fredonne un amant, je répète un amour, et a capella je me remémore le souvenir.

Je compose un homme, je m’inspire des autres et rêve de celui à venir.

L’homme à venir, comme Bobin et sa femme de version.

Introspection de copine, il ne faut pas trahir sa confiance et lui faire quelques cadeaux. Malgré la trouille de souffrir encore, il faut se jeter à l’eau et avoir mal parfois.

Pour que la copine à l’intérieur aie  matière à me souffler quelques mots

. ce n’est pas moi qui écrit, c’est ma peine.

C’est là que ça se passe. Adentro

si tu savais comme j’aime au fond ressentir quand ça fait mal mais pas trop, juste pour me rapeler comme déjà j’ai eu mal, et comment j’ai pu me rencontrer, et passer des nuits entières, là, dans des états qu’aucun dictionnaire ne recense, à courir de droite à gauche parce que ça tanguait dangereusement dans mon cœur qui se mordait la lèvre, et comment j’ai demandé pardon à ma copine introspection quand je l’ai bousculé, oh pardon et j’ai voulu continuer dans mes pensées, et qu’elle m’a dit, c’est pas grave,

Elle m’a dit, c’est pas grave, je t’attendais.

Bouche bée. Moi qui cherchais quelque chose de doux, un genre de calmant pour le mal au cœur, elle m’a pris par le bras et m’a secoué, secoué, secoué, hurlé depuis et jusqu’à ce que.

Le a me rappelle les fous, sûrs que l’amour va venir sans tambours, et au jour qu’ils l’ont décidé et quand ça sera leur tour.

Le m pour moi car sans toi, moi je ne poursuis plus rien mon amour. Malgré ses aphres. Ne vous plaignez pas, car sans lui vous seriez gris, vous seriez infinis dans un monde sans vie,
un monde sans passion n’est pas un monde. C’est une nuit de pluie. Où seuls des bruits sourds et bizarres vous font battre le cœur et susurrent narquois le I d’insomnie. Où seuls vous guettez le prochain craquement, sans savoir pauvres fous que si vous aviez choisi la vie, c’est le guet de ses pas à lui qui serait votre n1 Maslowien.

Je fredonne un amant, je vous conte son arrivée et crains pourtant qu’une main se pose sur mon épaule. Qu’un drôle vienne me dire que j’ai raison, que l’amour existe et que ce goujat chante ma chanson.

Qu’il me dise tout et tout de suite. Pour me faire fuir et écrire encore des choses tristes.

Et je fredonnerai un amant, je répéterai un amour, comme on répète une scène avant le grand jour.

3 novembre 2006

un indice, au mois d'août.

ce moment traduit l'avant  "devenir qui tu es", quand tu assumes ce que tu veux, ce qui te fait rêver...

en écrivant cela, j'avouais mes pensées :

Réveille mes envies, je m'ennuie.

fais moi voir les mêmes choses, parce qu'on est là, et qu'il faut qu'on sale nos jours pour tromper les peurs. Mais souris, enjolive la butte pour qu'elle devienne dune.

Sans mentir, sans tromper, juste pour que j'ai envie avec toi, de l'hiver même en été.

Viens me chercher, même quand j'ai les yeux baissés; même quand je ne veux rien entendre, rien voir. Persuade moi de tout ce que je suis en train de rater. Dis moi " la vie  n'est pas qu'un risque, c'est un pré. Des millions de km² de vie pour nous et ceux qui ont le courage d'essayer. Et on va s'y promener.

Plante toi dans mon regard, et fais moi visiter.

Avec un refrain s'il te plaît, parce que je veux savoir où je vais.

3 novembre 2006

l'été et les prémisces de la Révolution

IMAG0787je m'excuse d'avance de ne pas savoir écrire prémisces ... je n'ai jamais su l'écrire

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sophie ou marie
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